Le week-end d'avant Noel (je ne sais pas faire les trémas sur le clavier (d'ailleurs, ça s'écrit comme ça ?) et ne saurai jamais les faire) je suis allée à Londres avec mes parents et mon frère ! N'est-ce pas une grande nouvelle ?
Pour une fille qui affirme être amoureuse de tout ce qui a rapport avec la Grande-Bretagne, je dois dire que c'était un peu la tehon de n'y avoir jamais posé le pied. Mais le 20 et 21 décembre, j'ai enfin goûté aux joies des bus rouges et des taxis noirs.
J'y suis arrivée en 2h15 grace à cette formidable invention qu'est l'Eurostar (et aussi un peu grâce au tunnel creusé sous la Manche) et j'ai bénie le sol londonnien à coups de pas de Converse déterminés. Ne sachant plus où poser les yeux, j'étais émerveillée par cette ville où la nourriture est infâme (-1), mais où les Starbucks Coffe poussent à chaque coin de rue (+1). Et puis, rien que d'entendre les passants parler anglais, j'en avais des frissons de bonheur.
Bref, une ville bien faite où les écureuils font la loi (notamment à Hyde Park), où les mannequins des vitrines de lingerie sont vivant(e)s (avec une cravache dans la bouche !), où les policiers se baladent à cheval et où les bouchons n'existent pas.
J'ai adoré cette escapade britannique et j'ai envie de dire heureusement parce que...
... Le 18 janvier j'y retourne avec le lycée pour rencontrer Shakespeare à Stratford ! Comment ça "il est mort depuis des siècles" ?!
Remonter aux origines? Sympa.