crackle

A prendre au 6ème degré...

Jeudi 26 mars 2009 à 11:13

   http://crackle.cowblog.fr/images/premierjourdurestedetavie.jpg 
LA CHOSE LA PLUS TRISTE AU MONDE

C'est cette femme dans ce film. C'est cette veuve qui libère l'air du coussin gonflable sur son visage. Ce coussin que son mari avait gonflé avec son propre souffle, quelques jours auparavant. Ce coussin qui contient l'oxygène qu'avait respiré son amour perdu.

Le Premier Jour du Reste de ta Vie.

Mercredi 25 mars 2009 à 20:29

http://crackle.cowblog.fr/images/P220109145901-copie-1.jpg
Mon Dieu, je régresse ! Je n'ai rien de drôle à raconter ! (A vrai dire je suis en plein stress intersidéral en pensant à mon oral blanc de vendredi mais ne parlons pas de choses fâcheuses). Dans ces cas-là, il y a toujours les blagues qui détendent l'atmosphère. Bon, je vous l'accorde, il faut que ce soit de la bonne blague de concours sinon ça tourne vite au ridicule. Mais soyons positifs : je suis assez drôle comme fille CONSEQUENCE j'ai de la bonne blague de concours à vous raconter ! (Ne vous attendez pas non plus à du grandiose, vous serez vite déçus).
Il y a quelque chose que j'affectionne tout particulièrement, c'est le dilemme. Tout a commencé en voyage à Stratford upon Avon au mois de janvier. A l'époque, j'étais naive et jeune, je croyais encore que les bébés étaient des graines que le papa plantait dans le ventre de la maman. Bref, je n'étais pas ce qu'on appelle une enfant éveillée. Certes, je faisais des efforts, cherchant à communiquer avec l'autochtone, et mettant ainsi au vu du monde mon don incontesté des langues étrangères, mais ceci ne semblait pas convaincre mon entourage. C'est ainsi, qu'un soir de beuverie incontrolée, que dis-je, plutôt de rigolade incontrolée dans cette minuscule chambre chez l'habitant (le bien nommé Flash Gordon ou le perfide Anglais), j'ai su, j'ai découvert qu'un autre monde s'offrait à moi. Lucile et Clémence, mes maîtres dans l'art de la blague, m'ont appris à manier avec aisance le dilemme. Et voilà, que nous avons passé la soirée à brailler comme des truies en rute sur nos petits lits, à nous gondoler de plaisir en racontant des dilemmes de plus en plus invraisemblables. Et je tiens, ici, en ce jour, à vous faire part de ces fameux dilemmes pour que vous puissiez partager avec nous les joies de l'humour, mes amis. Car OUI l'humour drôle existe et n'est pas qu'une succession de vagues rires gênés devant une vaine tentative de faire rire. Les enfants, ouvrez grands vos yeux et délectez-vous de ce savoureux plat d'humour que je vous tends.

Dilemme number one : Tu préfères avoir des jambes en mousse ou des dents en bois ?
Dilemme number two : Tu préfères péter tous les jours, devant tout le monde, et que ça fasse du bruit, et que ça pu ou avoir des furoncles sur les fesses qui explosent à chaque fois que tu t'assoies ?
Dilemme three : Tu préfères avoir la lèpre et perdre des bouts de toi un peu partout ou ressembler à Daniel, le survivant de l'accident de voiture qu'ils passent à la conférence de sécurité routière ? (Pardon Dany...).

Après ces cruels dilemmes quelque peu dégoûtants, passons à celui qui emplit  de joie le coeur et qui te donne envie de sauter partout dans ta maison en petite culotte avec en fond sonore la BO de Dirty Dancing.

Dilemme number four : Tu préfères vivre toute ta vie avec le docteur Glamour ou passer une nuit avec le docteur Mamour ? *

Je sais que c'est dur de répondre à ce dilemme, les filles, mais j'ai une bonne nouvelle : un réponse n'est pas exigée. Bah oui. Là est tout le concept du dilemme. Vu que le choix est impossible, je te dispense de choix ! Je t'en prie.

Voilà. Je doute que tu aies pissé de rire devant ton écran mais si c'est le cas, je ne veux point être au courant de tes pratiques douteuses.


* Celles (/ceux ?) qui suivent Grey's Anatomy comprendront sûrement mieux.

Mercredi 25 mars 2009 à 16:51

Edouard Baer a dit un jour : "Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonnes ou de mauvaises situations. Moi si je devais résumer ma vie, aujourd’hui, avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi, et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée, parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais le miroir qui vous aide à avancer ; alors ce n’est pas mon cas comme je le disais là, puisque moi au contraire j’ai pu et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’amour, et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? Et bah je leur réponds très simplement, je leur dis : c’est ce goût de l’amour, ce goût donc qui m’a poussé, aujourd’hui, à entreprendre une construction mécanique mais demain, qui sait, peut-être, simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi…"

Lundi 16 mars 2009 à 20:28

http://crackle.cowblog.fr/images/carygrantetkatharinehepburn.jpg

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast